Nouvelle policière de Dan-Ali "Détective Dan-Ali"

 
Détective Dan-Ali

 

Un enfant de 12 ans, nommé Dan-ali, fut invité à une fête du nouvel an. Tous les voisins de l’immeuble, ainsi que ses deux meilleurs amis Wallid et Fadhi furent présents à cette soirée. Marc, le voisin de l’immeuble, avait beaucoup de rancune envers le père de Wallid. Tous les jours, il montait chez le père de Wallid. Ils se disputèrent pour une question de bruit. Ils se donnèrent rendez-vous à la fête. Le 31 décembre arriva ; Tout le monde fut présent. Le père de Wallid se rendit aux toilettes. Mathilde, organisatrice de cette soirée, alla se laver les mains. Soudain, on l’entendit crier de toutes ses forces. Son mari vint à son secours et dit : «Que se passe t-il, chérie ? » Elle lui répondit : « Regarde, le père de Wallid, il est mort, poignardé ! Tout le monde s'affola sauf le coupable bien sûr !

Mathilde appela le meilleur inspecteur de la ville. Il s’agissait de l’oncle de Dan-Ali, monsieur Tourosaki. Il arriva sur le lieu du crime et dit : « Bonjour madame, mon équipe se chargera de l’affaire ; Dan-Ali inutile de te recommander de ne pas t’en mêler ! »

Mais bien sûr, Dan-Ali fut trop curieux pour renoncer à cette enquête. Il se précipita vers le lieu du crime et débuta sa petite enquête. Il se dit :  « Tiens, la victime est grièvement blessée au front. Voici des débris de couteau, il faudra que je me rende au laboratoire le plus proche. » Il y alla en skate board ; arrivé sur place, on annonça les résultas.

Ensuite, il alla voir Marc pour l’interroger : « Quand êtes-vous allé aux toilettes pour la dernière fois ? » Celui-ci lui répondit : « Mêle-toi de tes affaires, petit ! » Cependant,Dan-Ali connaissait déjà le coupable car il était réputé pour son intelligence. Il se précita vers son oncle, ainsi que devant le public et dit : « Tonton, j’ai trouvé un suspect !C’est Mathilde, elle a signé son crime en croyant pouvoir se débarrasser de nous et en nous conduisant sur de fausses pistes. Je suis allé au laboratoire, vos empreintes sont sur le couteau ; désolé madame, mais le crime parfait n’existe pas ! »

Alors, Dan-ali décida de continuer sa petite enquête afin d’élucider tous les mystères de cette histoire. Il était convaincu que Mathilde était bien la coupable car elle avait été la dernière à se rendre aux toilettes et c'était elle qui avait découvert le cadavre. Autre part, Dan-Ali découvrit de la drogue sur le meuble des toilettes. Il supposa que le père de Walid, sous l’effet de cette substance, avait tenté de violer Mathilde. Celle-ci, sous le choc, aurait planté le couteau dans l’abdomen du père de Wallid. Afin de se disculper, elle inventa cette mise en scène.

Malgré le grand chagrin qui envahissait Wallid, il défendit Mathilde et dit : « Une femme si douce ne peut commettre un tel crime ! Tu te trompes Dan-Ali ! » Dan-Ali songea au mari de Mathilde qui avait été témoin du drame. Il connaissait peut être le criminel. Le soir venu, le mari de Mathilde se retira dans sa chambre. Soudain, un homme surgit, ferma la porte à clef et dit : « Tiens, tiens, tu en sais beaucoup trop, cette chambre sera ton tombeau ! » Il prit sa batte de base-ball, le frappa à plusieurs reprises, l’attacha sur une chaise, le tortura. Il prit une lame de rasoir, le blessa à la joue. Il lui versa un peu de sel et du citron sur les plaies. Le mari de Mathilde hurla mais personne ne l’entendit. L’homme prit son fusil, visa le cerveau et boum il lui sauta la cervelle. Tout le monde s’affola, on essaya d’ouvrir la porte mais personne ne réussit. Dan-ali enfonça la porte et lut un message affiché sur le mur : Toute personne qui se mettra en travers de mon passage subira la même chose. Mathilde s’effondra sur le sol et perdit connaissance.

Elle se réveilla à l’hôpital ; elle se sentait seule et malheureuse. Soudain, l’homme entra dans la chambre et l’étrangla avec du fil de fer. Il lui chuchota à l’oreille : « Tu es mon petit joujou, si tu m’écoutes, il ne t’arrivera rien ». Elle réussit à s’enfuir. Dan-Ali, pendant ce temps, poursuivit son enquête. Il se rendit compte que Mathilde était en position de légitime défense. Il alla rencontrer son oncle : Il lui raconta que Mathilde s’était défendue contre son agresseur. « Le coupable est parmi nous ! » L’oncle lui demanda s’il détenait des preuves de son affirmation. « Oui, mon oncle , répondit Dan-Ali,  Mathilde ne pouvait commettre le meurtre car elle n’avait pas la force nécessaire. Elle a à peine réussi à s’enfuir. De plus, le meurtre a été commis à minuit, après l'examen du médecin légiste. Or Mathilde, à cette heure, embrassait ses convives afin de leur souhaiter une bonne et heureuse année. Elle avait donc un alibi. Enfin, j'ai installé une caméra miniature dans la chambre de Mathilde lors de son hospitalisation. Marc est venu la menacer. Tout à été filmé ! Des empreintes digitales ont été relevées sur le lieu du crime là où gisait le corps du mari de Mathilde. »

L’oncle, bouleversé par l’intelligence de son neveu, arrêta de suite Marc et dit à son neveu : « C’est très bien Dan-Ali, je suis fier de toi, bon boulot ! Tu mérites une glace ! »

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