Nouvelle policière de Rémi "La mort elle-même te pardonnera-t-elle ?"

 



La mort elle-même te pardonnera-t-elle?

 

 

Je rentrai chez moi, tranquillement, dans ma forêt bien aimé. Tout en regardant le fleuve doré avec les rayon du soleil levant, je m'avançais vers le pont qui permettait de traversé le fleuve de couleur or pour accéder à l'île sur laquelle était battit ma maison. J'ouvris la porte de ma maison et entrai, j'appelai ma mère qui ne me répondit pas. J'ouvris la porte de la cuisine, en entrant dans la pièce, j'aperçus un cadavre à mes pieds. Avec effroi, j'examinai le corps de la victime partit vers un autre monde. Alors je remarquai que s'était ma mère!

- Non! Pourquoi moi? Sanglotai-je.

Je courus au téléphone prévenir la police qu'un meurtre venait de se commettre. Je retournai près de la scène du crime examiner le meurtre: ma mère avait un couteau rouge clair dans une main, elle avait aussi un couteau planté dans le coeur ainsi qu'un autre entre les deux yeux. Une haine et une rage incontrôlable apparurent en moi. Je pris le couteau que ma mère avait dans sa main au moment de sa mort et le cacha dans ma poche. J'avais une telle haine envers l'assassin que je me jurai de le tuer moi même de mes mains. J'attendis que la police arrive. Au bout de quelques minutes, trois voitures de police arrivèrent, elles se garèrent et de la troisième voiture sortit un homme de belle taille, en costume noir, qui vint vers moi. En quelques secondes, je l'avais reconnu: c'était M.IMOLIS, le plus grand inspecteur de la région, sa renommée était nationale.

- Bonjour. me dit-il en s'approchant.

- Bonjour. répondis-je.

- Que c'est-il passé? demanda-il.

Je racontai tous se que savais et l'invitai à entrer. Il regarda le meurtre, pris quelques notes et sortit faire le tour de l'île. Je le suivis et remarquai tout comme lui qu'il y avait deux paires de traces de pas. Il y avait deux coupables! Un peu plus loin, il vit une écharpe dans un buisson, il la ramassa avec des gants et la mis dans un sac en espérant qu'il restait des empreintes digitales. Quand il eu fini d'examiner les parages, il appela la police scientifique pour l'aider. Elle arriva quelques minutes après: il y avait deux voitures chargées de scientifiques. L'enquête commença.

quelques jours plus tard, l'enquête n'avait toujours pas avancée et la haine que j'avais envers le malfaiteur n'avait fait que grandir jusqu'à me hanter au plus profond de mon âme. Je réfléchissais à l'énigme quand j'entendis la sonnerie de mon téléphone. Je décrochai:

- Bonjours, je suis le grand inspecteur IMOLIS! J'ai une piste venais me voir dans mon bureau!

- J'arrive monsieur.

Je pris le chemin de son bureau: il se situait sur la côte de la mer méditerranée, près de Marseille. En arrivant devant le bureau, j'ouvris la porte et observai la pièce: les murs était blanc, la salle était rectangulaire (environ: 5m sur 10m), le bureau était au centre, il y avait deux fenêtres sur les cotés... Je dis bonjour à l'inspecteur qui me répondit:

- J'ai une importante nouvelle à vous annoncer: je tiens le coupable, c'est M. MAYINI: c'est un médecin, il à 35 ans, il vit Marseille...

- Quel est son mobile? demandai-je surpris de savoir si vite qui était le coupable.

- Il semble qu'il aurait tué votre mère dans l'intention de lui voler de l'argent. soupira l'inspecteur.

- A t-il réussi?

- Je l'ignore. me répondit-il.

- Quel sont les preuve de sa culpabilité? Demandai-je.

- Nous avons trouvé un gant, hier, près de l'endroit où nous avions trouvé l'écharpe sur lequel se trouve ses empreintes digitales. m'expliqua-t-il.

« Qu'est ce qu'il prouve que le gant appartenait au coupable? » me demandai-je. Pourquoi le criminel aurait laissé-il tomber son gant sur le chemin. Cela n'avait pas de sens. Je demandai:

- Êtes vous sur que c'est lui?

- Bien sur.

- L'avait vous interrogé? soupirai-je

- Non pas encore, je viens juste de savoir qui était le coupable. répondit l'inspecteur de renommer nationale.

- J'ai encore une question: pourquoi l'avez vous trouvé que hier?

- Je l'ignore surtout que nous l'avons trouvé dans un endroit visible. répondit-il

- Je vous remercie de m'avoir informé sur le meurtre de ma mère. Marmonnai-je.

Cela n'avait pas de sens: trouver un gant sur un chemin barré et surveillé seulement au bout de quelques jours. Je crus avoir une piste et avoir une chance de tuer le malfaiteur, c'est pourquoi je ne dis rien au célèbre inspecteur. Je décidai de veillé cette nuit près du buisson car peut être que quelqu'un amèneras un indice. Je me préparai et pris avec moi trois couteaux: celui de ma mère et deux autres.

Bien caché près du buisson, j'attendais que quelque chose se passe. Vers minuit, j'entendis un bruit de pas presque silencieux. Je me redressai et regardai: c'était un homme grand et maigre, il avait des gants et une ceinture sur laquelle était accrochais un couteau. C'est alors que je vis dans une de ses main de l'acétone: il voulait brouillé une piste. Je me levai et criai:

- vengeance!

Et en criant ces mots je lui lançai un couteau dans le coeur. Puis un deuxième dans le ventre, et enfin je lui sautai dessus et lui coupai la gorge. Cela c'était passé si vite qu'il n'eut pas le temps de crier. En récupérant mes couteaux, je me décontractai et la haine que j'avais eu disparut. Je rentrai chez moi et dormis pour la première fois depuis le meurtre avec mon âme en paix. Le lendemain matin, l'inspecteur me convoqua dans son bureau:

- un deuxième meurtre à était commit: M.NOMOU a était tué sur votre propriété. m'annonça M.IMOLIS

- Quoi? Un autre meurtre. m'exclamai-je. Quelle sont les indices recueillis sur la victime?demandai-je

- Il semble que se soit la même agression que celle de votre mère.

- Que faisait cette personne sur ma propriété?

- C'était mon assistant. soupira l'inspecteur

- Que que... bafouillai-je

- Que se passe-t-il?

- Rien, puis-je me retirer? demandai-je

- Oui, allez y. répondit l'inspecteur

Je me dis en sortant: c'était l'assistant de l'inspecteur! Donc l'inspecteur était soit dans le meurtre de ma mère soit son assistant avait tué ma mère. Je pris mes couteaux et les cachai dans ma veste puis, je partis de nouveau pour le bureau de M.IMOLIS. Quand je rentrai je vis l'inspecteur ainsi que deux hommes et une femme. Ils furent surpris de me voir et l'inspecteur me dit:

- Excusez moi monsieur mais je suis occupé, revenez plus tard.

- Avant j'ai une question monsieur: Connaissiez-vous bien votre assistant?

- Oui, mais sortez! ordonna-t-il

- Avant je vous accuse du meurtre de ma mère! criai-je

- Ainsi tu as deviné. s'écria l'inspecteur.

Je sortis un couteau. La haine, la soif de sang, la vengeance et la colère prirent possession de mon esprit et de mon corps. Je criai au meurtrier de ma mère:

- Pourquoi à tu tué ma mère?

- Cela tu ne le sauras jamais!

- Je suppose que tu est trop lâche pour m'affronter en combat singulier. criai-je

- Tu crois cela? demanda-t-il

- En effet. Répondis-je

Il ordonna aux personnes qui était à coté de lui de ne pas intervenir. Il sortit aussi un couteau. Je lui criai:

- Meurt.

Je lui sautai dessus, il esquiva à droite, et moi, je me retrouvai à côté des suspects de la scène: Je les tuai tout les trois en leur tranchant la gorge à tour de rôle. L'inspecteur cria et se jeta sur moi. J'esquivai et lui lançai un de mes couteau dans le bras gauche. Il hurla de douleur,lança son couteau et sortit un revolver puis il se mis à essayer de me viser, heureusement, la douleur l'empêchait de bien viser. Je lui lançai un deuxième couteau qui le loupa et partit par la fenêtre. Il me restai le couteau de ma mère et comme ma soif de sang avait dépassé ma raison, au lieu de me cacher, je lui sautai dessus: d'un coup de pied, je fis voler le revolver par la fenêtre et voulus point enfoncer mon couteaux dans le coeur de ma victime. Alors, M.IMOLIS sortit le couteau planter dans son épaule. Je lui dit, aveuglé par la haine:

- Pourquoi a tu tué ma mère?

- Pour gagner une prime de 30000€.

c'est alors qu'il m'enfonça son couteau dans le ventre et cria:

- Pour mes amis!

Moi, je lui enfonçai le mien dans le coeur: il cria quelques secondes puis partit pour un autre monde. Je repris mon couteau et, dans une salle souillé par le sang de meurtrier, me l'enfonçai dans le coeur. Quand à M.MAYINI, il fus torturé pour dire se qu'il s'était passé dans le bureau, mais comme il l'ignorait, il ne put répondre et fut tué par la torture.

 

FIN

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