Nouvelle policière de Maëva C. "Le pain perdu"

 

Le pain perdu

 

Une petite fille sortit de l'école.C'était Milie, une fille très gentille que tout le monde connaîssait et adorait. Elle était curieuse, sympathique et gourmande. Ses parents étaient pareils : sa mère était journaliste et son père inspecteur. Elle habitait dans un petit village.

Alors qu'elle se promenait dans la rue, Milie vit un homme gisant dans son sang. Il avait des coups de hache qui lui avaient transpercé le corps avec des perles autour. Elle se demanda qui il était. Elle ne comprenait pas. Elle resta figée, non à cause du froid, mais de la peur qui la saisit. Elle avait très peur. Quand tout à coup, elle eut un déclic. « Moi, Milie je vais mener l'enquête, je n'ai peur de rien! »

Milie chercha d'abord des indices. Elle examina les perles. Elle remarqua du sang et un B sur ses bijoux. Donc c'était le nom du criminel. Puis elle regarda autour d'elle. La jeune fille vit plein de petits magasins : une boucherie, une boulangerie, une bijouterie etc ...

La victime devait faire ses courses. La petite fille fouilla dans les affaires de la victime et trouva sa carte d'identité. Son nom : Picket, son prénom : Ludovic, son âge : 23 ans, sa profession : Assistant de boulanger. Elle alla donc voir son patron M.Miche. Il était en pause. M.Miche était vieux, colérique mais doué pour les gâteaux. Milie lui demanda depuis quand Ludovic travaillait ici. Il lui dit qu'il était là depuis 2 ans mais au beau milieu de leur discussion, un bruit les interrompit...

C'était le meilleur ami de Ludovic. Il était le second assistant et le jeune homme qui s'appelait Edouard venait travailler. Le boulanger l'accusa tout de suite car il était jaloux de la victime et ils s'étaient battus. Mais Milie prit le suspect à part pour l'interroger. Elle revint 10 min après. Elle pouvait prouver qu'il n'était pas coupable.

Premièrement : Oui, il était jaloux mais il était à PARIS quand le meurtre s'est produit

Deuxièmement : Le boulanger les avait vu se bagarrer mais pendant leur temps libre, ils font du théâtre et ils jouent une scène ensemble où ils se disputent donc cela prouve son innocence.

M. Miche n'était pas satisfait. Mais la jeune fille l'était.

Le malfrat était toujours en liberté.

Milie se posait plein de questions. Qui a tué Ludovic? Est-ce que je le connais?

Elle s'endormit. Un cri la fit sursauter. Elle courut vers la porte : quelqu'un l'avait enfermée! Le cri devint de plus en plus strident. Puis il y eut un grand silence.

Elle entendit des pas venir vers elle. Milie se cacha très vite. La porte s'ouvrit...

  •  

    Dix-neuf ans plus tard.

  • M.Miche apparut un couteau plein de sang à la main. La jeune fille vit le
    patron lécher le couteau. Dégoûtée, elle tomba dans les pommes. Le
    boulanger se dirigea vers elle, l'attacha sur un bûcher. Quand Milie se réveilla, elle vit une femme par terre. On lui avait transpercé le coeur. La petite fille regarda plus loin. M.Miche était assis sur une chaise.

    «  C'était vous!!

    -Oui car ... je suis ton père.

    -Mais ...

    -Tu vois cette femme. C'est ta vraie mère. Je l'ai tuée car elle voulait tout raconter à la police.

    -Mais pourquoi m'avez-vous attachée et pourquoi m'avoir abandonnée?

    -Tu sais nous étions jeunes quand tu es née. Je t'ai attachée car je vais te brûler comme une sorcière.

    -Et ce pauvre Ludovic! Pourquoi?

    -Lui, il était amoureux de ma femme et il voulait ouvrir une boulangerie concurrente. »

    Milie avait amené un couteau suisse.

    Elle se détacha pendant que M. Miche mettait le corps de la jeune femme dans les toilettes. Elle appela la police et ses parents.

    La police arriva deux minutes plus tard.

    Tout finit bien comme dans les contes de fées. Tout le monde fut heureux et Milie va devenir la grande soeur d'un petit Julien. M. Miche alla en prison. Les familles de Ludovic et de la jeune femme enterrèrent leurs morts. Milie fut invitée à l'enterrement.

Milie est devenue détective et s'est mariée avec le frère de Ludovic, Raphaël.

Elle eut deux enfants et fut heureuse jusqu'à la fin de sa vie.

 

 

 

 

FIN

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